Je viens de m'acheter le dernier numéro des Inrocks ou plutôt le premier numéro des Inrocks nouvelle version et ben zut, c'est plus les inrocks, c'est une sorte de trucs qui nous fait le tour de l'actualité : une sorte de Nouvel Obs "jeune".
Moi j'aimais bien le canard qui nous parlait de groupes que l'on ne connaissait même pas et qu'une fois de temps en temps, foutait un coup de pieds dans la fourmilière politico-médiatico culturelle et ben là, on a l'impression qu'ils sont partis pour en faire toutes les semaines. Les gars, votre force, c'est que vous le faisiez quand c'était indispensable : la guerre contre l'intelligence, Monsieur Y. ...
Rendez-nous nos Inrocks...
Deuxième ronchonnement : la parité serait responsable de l'affaiblissement de bidule, de machin et du renforcement de truc-muche (cf. Libération de ce jour). Je ne vais pas faire mon naïf, je sais comment cela se passe la politique pour être depuis longtemps dans cet exercice difficile. Mais que diable, ce n'est pas la faute de la parité, si l'un ou l'autre se fait avoir, c'est le fait d'être minoritaire (je le suis depuis 4 ans dans mon parti) et de ne rien respecter sauf sa propre personne. Et oui, le PS, c'est la loi de la jungle et comme souvent, la force opprime et la loi rend libre. Mais que diable, la parité a des défauts, mais ne les a pas tous ! Si tous avaient fait les efforts de rajeunissement et de féminisation avant, d'autres n'auraient pas cet argument pour les affaiblir aujourd'hui.
En politique, les absences d'anticipation sont souvent facturées à prix coûtant !
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